En campagne, il est capable de toutes les séductions, d’interpréter tous les rôles, de promettre "à profusion". Mais, à quoi bon l’écouter interpréter Don Juan ?
Se souvenir de ce qu’il a fait au cours du quinquennat me paraît plus productif.
Président des riches, "mac" de l’ensemble des médias "prostitués" à leur unique client, littéralement muselés (on l’a constaté, en particulier sur le 11 septembre) ; il a mis la liberté de la presse au 44ème rang mondial), il va aujourd’hui et pendant quelques semaine encore, servir aux français une rafale de promesses qu’il ne tiendra pas.
On n’a qu’une envie : celle de lui renvoyer une de ses grossièretés de début de quinquennat : Casse-toi, etc....
A propos, comment appelle-t’on un avocat en argot ? Ah oui, je me souviens : un menteur.