bonjour machiavel,
pas si vite ! Car si la mauvaise affaire est pour Peugeot, la bonne affaire est peut-être ailleurs.
En effet, l’abandon des exportations vers l’Iran n’a été obtenu que lors de l’entrée dans le capital de Peugeot d’un investisseur institutionnel Américain (en l’occurence GM il me semble). Et là on a tout un éventail d’explication parfaitement dans la doxa capitaliste : élimination d’un concurrent potentiel, perspective juteuses dans le cadre d’un conflit mondial, etc etc.
Ou si vous le voulez, rentrer un peu dans le capital d’une société Française pour la couler de l’intérieur, là on reste dans le très classique pas du tout communautariste pour 2 sous.