Merci Edwig,
Il risque quand même d’être dur d’atteindre cette dimension de coopération.
La première coopération n’est-elle pas celle qu’on entretient vis-à-vis de soi même ?
La seconde celle qu’on a avec l’environnement prodiguant les ressources vitales dont nous avons tous besoin ?
Comme nous avons si bien réussi à accaparer le monde à nos desseins jamais satisfaits, et qu’une frange de la population s’appuie sur cette exploitation pour vivre comme des rois, le travail que vous évoquez ne va pas faire beaucoup d’émules.
Je vais pourtant dans ce sens aussi, mais les contraintes sont telles que pour les abattre, c’est une remise en question complète qu’il faut entamer, individuellement... Et il n’est même pas sûr que cela soit couronné de succès, avec l’esprit régnant actuellement : tout, toujours plus, tout de suite ! Plus les offensives tendant à mettre tout le monde à contribution, dans la poursuite d’idéaux relevant, à mon sens, de pathologies intellectuelles. On les voit bien les effets pernicieux, mais bizarrement, les causes ne cessent pas.
Bien à vous Edwig