Salut (encore) Hijack !
Ce que je voulais dire c’est que :
1)
l’un et l’autre ignoraient l’existence d’une troisième tour effondrée
le 11 septembre, ceci pour illustrer l’importance de la question posée
dans la vidéo ;
2) le fait de n’avoir jamais entendu parler de
cette tour provoque un effet de surprise qui les pousse à chercher des
réponses aux questions que cela soulève ;
3) la réponse diffère
légèrement de l’un à l’autre mais aucun d’entre eux n’envisage que la
tour ait pu s’effondrer comme ça presque "accidentellement", leurs
observations se complètent même quelque part. Jowenko découvrant les
images réagit en disant en gros "ça ne peut être qu’une démolition
contrôlée", mais s’interroge quant au laps de temps trop court pour
provoquer la chose avec des moyens habituels/conventionnels. La
découverte par Harrit et son équipe de nano-thermite (qui n’est pas
vraiment un explosif mais plus un "truc qui brûle" si j’ai bien compris)
beaucoup plus puissante sur les lieux tend à répondre aux questions que
se pose Jowenko : ce serait plus simple et efficace à faire avec ça.
Les deux se rejoignent en tout cas sur cette idée qu’il y a bien eu
démolition par explosifs, ou produits apparentés, contredisant ainsi la
version officielle. La tour n’a pas pu s’effondrer si vite "comme ça",
sans résistance, sauf à ce que toute son ossature cède en même temps.
J’espère être plus clair avec ce développement. Je ne sais pas si ces messieurs ont raison ou tort mais leurs avis d’experts — quand même ! —
tendent à converger. Il reste en tout cas ce fait étrange qu’aucun
d’entre eux, pas plus qu’une majorité de l’opinion, n’en avait entendu
parler dans les médias. Ce sondage
à ne pas oublier révèle que 72% des Français sont convaincus que seules
deux tours se sont effondrées, ils ne seraient que 14% à savoir qu’il y
en avait trois (question 4). Le fait que 8,6 Français sur dix ignorent
l’existence d’une troisième tour, a fortiori quand l’absence d’avion
pose problème, ne leur permet évidemment pas d’avoir une opinion solide
et éclairée sur la question. S’ils avaient connaissance des données de
base, il y a fort à parier que la plupart d’entre comprendraient mieux
pourquoi ils sont 58% à avoir quand même des doutes (question 3).
On
peut s’amuser à jouer sur l’échantillon de seulement "500 personnes",
dire qu’un sondage reste un sondage et peut se tromper. Mais les
questions demeurent :
Pourquoi la presse n’a pas diffusé ce sondage ?
Pourquoi n’a-t-elle pas proposé d’autre sondage, avec plus de moyens, sur un échantillon représentatif plus large ?
Pourquoi les gens n’ont-ils pas en leur possession les éléments de base pour se faire une opinion ?
Pourquoi n’y a-t-il aucun débat réel autour des thèses alternatives dans les médias et particulièrement en France ?
Bien
sûr ce ne sont que des questions, pas des réponses. Mais elles reposent
sur des constats qui tendent à prouver de manière "positive" que tout
n’a pas été dit sur la question et qu’il existe bien un tabou du 11
septembre. Et l’absence de réponses autres que l’invective témoigne
d’une volonté de ne pas en parler.
Pourquoi ?