@ Éric Guéguen et bien après avoir lue Nietzsche, lisez Steiner donc vous sembliez vous faire une idée un peut trop hâtive de ce qui vous en déduisez par ses extraits.
C’est le livre le plus ardue qui parle de la Liberté, et le but de son ouvrage, n’est pas que tu te conformes à sa pensé, c’est que tu exerces librement ta libertés de pensé qui est le préalable à un vouloir libre.
Je comprends que ce livre soit dérangeant, fait peur à lire, répugne, car il n’est en avant une idée qui répugne plus d’un c’est qui remet en perceptive tant que l’on a pas une Morale libre on ne peut pas parlé de Liberté.
« L’homme libre agit moralement parce qu’il a une idée
morale et non point pour que la moralité existe. Les individus humains,
avec leur faculté intuitive, sont les premières conditions de l’ordre
moral universel.
L’individu humain est la source de
toute moralité, et le centre de toute vie terrestre. Les États, les
sociétés, ne sont que les résultats nécessaires de la vie individuelle.
Certes, les États et les sociétés réagissent ensuite sur la vie
individuelle, comme l’acte de se défendre réagit sur l’évolution des
cornes du taureau, qu’il favorise, tandis que l’inaction
les atrophierait. L’individu, lui aussi, s’atrophierait s’il menait sa
vie isolément, hors de toutes collectivités humaines. L’ordre social se
forme précisément avec le but de réagir, d’une façon aussi heureuse que
possible, sur les individus.
»
Et ce qui dit de la Morale libre n’est pas de fonder une nouvelle morale personnelle en opposition à celle qui existe, c’est ternir compte de cette morale dans cette nouvelle morale libre, qui crée en soi l’Obligation Librement Consentie de l’auto- éduqué de sa Pensé !
C’est extrait mérite un approfondissement de la pensé et non pas une pensé déductive qui ne voit que les contradictions apparentes et l’on ne veux surtout par voir que se sont des pensés paradoxales qui ne peut que se résoudre si l’on pense la Pensé !