J’imagine que les bonbonnes de gaz (!) lacrymogène étaient vides, comme des famas sans culasse en présence du hollandais planant, pour éviter tout dérapage impromptu de la part des forces de l’ordre et ainsi éviter les procès en tout genre (ben oui faut faire des économies et pas tout donner à la LICRA, quand même) qui n’auraient pas manqué de fuser et se soustraire ainsi à toute accusation de retour aux HLPSDNH par les PS, FDG, NPA, CRIF et autres usines antifas réunis qui ne se seraient pas privé de jeter l’opprobre de la honte éternelle sur des policiers qui auraient pu se montrer aussi zélés que lors de ce printemps français qui fit long feu, tout en aspergeant des personnes plus intouchables que d’autres, n’est ce pas docteur Manolo et Mister Valls ?
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Le gaz, y’a bon pour les veilleurs ces ennemis publics de la république et de la démocratie et autres "extrémistes catholiques assoiffés du sang des menstrues de la Fourest", qui répandent la haine la plus ignoble d’où suintent des effluves nauséabondes réactionnaires fascistes aux relents de nazisme le plus virulent sorti du ventre de la bête immonde toujours fécond lors de la manif pour tous en se servant, comble de l’horreur hitlérienne, de femmes et d’enfants comme boucliers humains, méthode tristement rendue célèbre par ces terroristes palestiniens qui menacent chaque seconde Israël de leurs pierres et de leurs fusées du 14 juillet, que dis je, de leurs missiles de destructions massives dernier cri à têtes multiples et chercheuses de sioniste jusque dans leurs chiottes, vendus par Bachar Al Assad, Poutine et même Chavez qui continue ce sinistre business depuis le paradis.
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Par contre gazer des protégés du pouvoir, ça le fait moins, beaucoup moins, le Crif serait pas content et ne pourrait pas utiliser les mensonges du Figaro pour crier au loup qui à vu l’ours qui à vu l’homme qui à vu Dieudo. Et pourtant, le Crif relaie la propagande du Figaro quand même, mais jusqu’où iront ils dans le culot ? A noter que c’est bizarre cette histoire de bagarre générale inventée,imaginée par le Figaro, car lorsque l’on croise cet article avec le témoignage d’un certain Frank qui était présent sur les lieux, il y aurait eu comme une série de coïncidences étranges avec l’irruption des nervis de la LDJ, aucun médias présent jusqu’alors à part France 24 et des indépendants, puis au même moment, des individus ressemblant à des RG et I-Télé, firent leur apparition comme par enchantement lorsque le club de dans juif fit son entrée sur scène... Si j’étais complotiste, je pourrais aller jusqu’à imaginer que le journaliste du Figaro était partie prenante d’un complot, qu’il a rédigé son article de la même façon que l’on vend la peau de l’ours avant de l’avoir tué, et mis sous presse un peu trop hâtivement et que le plan visant à déclencher une bagarre par l’entremise des excités sous acide de la LDJ a fait long feu. Une hypothèse, un pas qu’un parano pourrait franchir aisément, pas de bol, je suis parano deuxième langue, donc je le franchis juste pour le plaisir.. 
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Témoignage de ce Frank, recueilli sur facebook :
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"Franck ........
Bonsoir,
J’étais au procès de Dieudo cet après-midi, et visiblement il règne
une certaine confusion au sujet de ce qui s’y est déroulé..
Je
suis arrivé en même temps que le Maître Quenellier, je suis resté avec
lui un moment sur les marches du Palais à l’extérieur, il y avait
plusieurs fans et sympathisants présents, on a échangé quelques propos
et photos dans une ambiance détendue. Dieudo était content de nous voir,
ce fut un épisode fraternel.
Ensuite on est entrés vers la Cour
d’Appel, et là il y avait des gendarmes qui bloquaient l’entrée. Dieudo
discutait avec un avocat, les habitués étaient présents, dont Jacky. La
foule commençait à grandir dans le hall. Quand il est finalement monté,
les gendarmes ont empêché les gens de passer. Puis ils ont laissé
rentrer cinq personnes, et trois. Ils nous ont assuré que la salle était
trop petite et que personne d’autre ne pourrait assister à l’audience
en dehors des parties civiles..
Donc le groupe d’une bonne
centaine de personnes est resté fidèle au poste devant les escaliers, on
discutait, on plaisantait, on faisait des rencontres, et de temps en
temps on poussait la chansonnette tous en chœur (oui, la fameuse chanson
du procès). Ce qu’on pourrait appeler bon enfant. Les gendarmes ont
vite compris qu’on n’était pas des terroristes et qu’il n’y aurait pas
de risque de débordement avec nous. La foule était composée de toutes
sortes de personnes d’une grande diversité ethnique et sociale. Certains
avaient réussi à faire passer des ananas, quenelle appréciée par
l’assistance..
Pas de journalistes en vue, à part France 24
rapidement et des indépendants. Coïncidence étrange, un long métrage
était en tournage juste dehors ! On était dans le champ en arrière plan.
Certains pensent qu’il s’agirait d’un des films sur Ilan Halimi, à
confirmer..
J’étais dans la foule en train de discuter avec de
parfaits inconnus de sujets captivants, quand un grand type habillé en
noir s’est mis à nous bousculer pour passer. Puis un groupe de jeunes
(haha) s’est attroupé dans un coin du hall, et ils ont commencé à se
cacher le visage derrière des écharpes noires et des capuches grises.
Ils avaient l’air particulièrement excité. On a vite découvert que
c’était une descente de la LDJ. Ils hurlaient des slogans, ont sorti des
drapeaux, et les gendarmes les maîtrisaient dans un secteur. Des hommes
en noir (RG ?) circulaient parmi nous pour nous demander de ne pas
répondre aux provocations (mais ils n’allaient pas voir en face les
individus qui se montraient menaçants). Bizarrement, il y avait un
caméraman de iTélé juste à cet instant précis, alors qu’avant c’était le
désert médiatique..
Les personnes venues soutenir Dieudonné ont
répondu aux cris et aux menaces par des chansons (dont la Marseillaise)
et en scandant des propos comme "liberté d’expression" ou "Palestine,
Palestine !" ; quelques insultes ont été échangées, ce fut assez violent
verbalement, le niveau sonore était impressionnant, mais aucun coup n’a
été donné, une distance de sécurité nous séparait..
Les forces de l’ordre ont fait du bon boulot..
Enfin les membres de la LDJ ont été raccompagnés vers la sortie par
les gendarmes, qui nous ont laissés tranquilles. Ils ont manifestement
fait preuve de discernement. En effet nous n’étions pas venus pour
agresser qui que ce soit, mais pour soutenir un homme accusé d’avoir ...
chanté une chanson.
La LDJ continuait à provoquer dans la rue, mais des CRS ont fait en sorte qu’ils n’attendent personne à la sortie..
Je suis parti un peu avant 16h, Dieudonné était toujours en audience. J’aimerais bien qu’on me raconte la suite / fin !
Quenellement.".
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"Précision du témoignage de Franck posté hier sur les événements au palais de justice en soutien à Dieudonné !
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Petite précision par rapport à hier, il y a eu une
synchronisation incroyable , digne d’une chorégraphie, entre l’arrivée
des vengeurs masqués de la LDJ, les hommes en noir des RG, le caméraman
d’iTélé, et les renforts de gendarmerie. La LDJ est surveillée de près
visiblement, mais les agents de l’Etat sont-ils là pour les empêcher de
nuire ou pour les protéger aux frais de la princesse ?.
Il y
avait dans le regard des membres de la LDJ une rage infinie que j’ai
rarement vue chez un être humain (même à la tribune Boulogne du Parc des
Princes), les menaces de mort pleuvaient de leur côté. La haine envers
Dieudo est immense (j’ai entendu des gens de passage dans le couloir qui
appartenaient manifestement à la communauté, lancer des pics virulents
sur lui, comme si c’était un monstre). Par contre, j’ai été touché
d’entendre de jeunes dieudonnistes issus de l’immigration extra
européenne, n’est-ce pas, se dire émus d’avoir chanté la Marseillaise
(ils en avaient des "frissons", pour reprendre leurs propos), alors que
je suis personnellement en désillusion par rapport à la France et que
mes sentiments patriotiques ont fané il y a quelque temps déjà. En
somme, ce que j’ai vu de mes propres yeux est en décalage total avec les
"informations" produites par les médias de masse..
Demeurons dans la recherche de la vérité, la sincérité et le partage, antidotes contre un monde pourri.".
Fin de citation....