D’où toute la sagesse d’un Bricmont, qui comprend bien que s’attaquer à Dieudo c’est s’attaquer à la liberté de chacun d’entre nous. D’où la sagesse de Bakounine qui considérait que la liberté d’autrui est la condition essentielle à sa propre liberté, et non pas, comme un bon libéral de base le prétend (maxime reprise par toute la gauche actuelle, preuve que ses référents cosmologiques sont libéraux), qu’elle s’arrête là où commence la sienne (ce qui est, au passage, très capricieux, enfantin).