-oui, je sais Machiavel, tu vas encore me dire que c’est une idée
« socialiste »
R /Non pas du tout morphéus,
d’ ailleurs je n’ai aucun mauvais à priori envers le socialisme originel, pas
ce qu’ il est devenu après mais bon , ça c’ est une autre histoire.
Je suis d’ accord avec beaucoup
de chose dans ton commentaire mais quelques
remarques :
Point 1-point 2 : Personne ne peut réellement dire ce qu’est
la nature humaine. Il ne peut y avoir que des spéculations là-dessus tant qu’il
n’y aura pas de progrès scientifiques déterminants sur le sujet.
Les êtres humains s’adaptent,
c’est un fait, d’autres animaux également dans une moindre mesure, c’est une
question de survie.
Point 3 –point 6 : Il faut prendre en compte qu’au paléolithique, la violence existait, mais à titre
individuel. Ce qui n’existait pas selon certains chercheurs, c’est la
violence institutionnalisé. La question de la violence chez les hommes datent
donc bien d’avant le néolithique.
Point 5-point 7 : Le manque de ressources est un facteur de risque
important de l’usage de la violence qui
devient même systématique dans ce contexte.
Hors, on sait que l’humanité a connu de tels états ponctuellement (lié aux
dérégulations climatique et autres catastrophes).
Chez l’homme, on n’a pas
encore découvert à proprement parler de gènes codant pour les comportements
violents, ce qui ne veut pas dire qu’ils n’existent pas. Mais chez les rats, on
sait que des gènes prédisposent à la violence.
Ou je veux en venir ?
Si ces gènes existent chez l’homme, lorsque l’environnement est devenu précaire,
ceux qui disposaient de cette prédisposition génétique avaient un avantage sur
la survie par rapport aux autres, ce qui a du influer sur la sélection
naturelle.
Par ailleurs, je
trouverai étrange que ces gènes n’existent pas : je ne connais aucun
mammifère (et pas seulement) qui ne
sache pas faire usage de violence dans certaines conditions, ces comportements sont forcément influé par
des gènes. Je ne vois pas pourquoi l’homme ferait exception.