Le syndicat des patrons français (le CNPF, puis son successeur le MEDEF)
a toujours été pour le « oui » à tous les traités européens.
L’ancien président du syndicat des patrons français, Georges Villiers,
était pour le « oui » au traité de Rome en 1957.
Ensuite, son successeur, François Perigot, était pour le
« oui » au traité de Maastricht en 1992.
Ensuite, son successeur, Jean Gandois, était pour le « oui »
au traité d’Amsterdam en 1997.
Ensuite, son successeur, président du MEDEF, Ernest-Antoine Seillière de Laborde, était pour le
« oui » au traité établissant une Constitution européenne en 2005.
Ensuite, son successeur,
Laurence Parisot, était pour le « oui » au traité de Lisbonne en
2008.
Mardi 14 février 2012 :
Le Medef s’invite dans la campagne présidentielle : un programme tourné
vers l’Europe... et un âge de la retraite encore plus élevé.
Laurence Parisot est entrée mardi dans le débat présidentiel en
présentant les priorités du Medef pour le prochain quinquennat.
Pour le Medef, la « top priorité » c’est le fédéralisme européen pour
créer les « Etats-Unis d’Europe », a-t-elle dit, estimant que « tout
protectionnisme, toute tentative de protectionnisme serait un désastre ».
http://politique.lavoixdunord.fr/Election-presidentielle-2012/2012/02/14/article_le-medef-s-invite-dans-la-campagne-presidentielle.shtml
Ceux qui veulent rester
dans l’Union Européenne sont les idiots utiles du grand patronat.
Ceux qui veulent le
fédéralisme en Europe sont les idiots utiles du grand patronat.
Et le plus triste, c’est
qu’ils n’ont même pas conscience d’être les idiots utiles du grand patronat.