Les peines prononcées n’ont pas été assorties du placement sous mandat de dépôt comme cela est le plus souvent le cas quand les prévenus sont issus des quartiers de la misère et du désespoir. Bref, le tribunal ne souhaitait pas de toute évidence l’exécution de la peine en laissant le soin au procureur de déterminer ultérieurement les conditions d’exécution des peines prononcées.
Les terroristes de la LDJ ont de beaux jours devant eux et peuvent poursuivre leurs basses besognes sous le regard détourné de la justice de classes.