"Mais c’est le travail révolutionnaire de Swartz autour des questions de justice sociale et d’organisation politique, combiné à son approche sans concession de l’accès à l’information pour tous, qui l’a pris au piège dans un cauchemar légal de deux années. Cette bataille s’est terminée par son suicide à 26 ans."
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C’est un drame mais c’était couru d’avance. De nos jours, l’utopie est une faute grave, ne pas connaître le potentiel ordurier du système tient de l’enfant-de-coeurisme. On ne collabore pas avec le système, de près ou de loin, car le système conservera ce qui lui permettra de renforcer son hégémonie et rejettera avec perte et fracas ce qui pourrait lui nuire. Swartz semblait ignorer cette règle de base et a payé cette ignorance le prix fort.
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L’idée "Open Library" est excellente, mais cette idée doit pouvoir contourner le système, sinon c’est encore la porte ouverte à d’interminables ennuis. On est maintenant certain que Google prépare un monopole en la matière, et que celui-ci est bien avancé. Il est urgent que chacun prépare de son côté, pendant qu’il en est temps, une base de données de livres & articles numériques, destinés à être mis en commun ultérieurement selon des modalités restant à définir, il serait même urgent que cette initiative privée commence à être fédérée.

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Maintenir la population dans un état de débilité avancé, c’est un des objectifs prioritaires du NWO. Toute personne saine d’esprit et informée est d’ailleurs censée avoir déjà commencé ce travail d’archivage de sa propre initiative. D’ici quelques années, la Connaissance sera verrouillée et son accès deviendra un luxe que peu pourront s’offrir, et personne ne plus venir chialer en disant qu’il ne savait pas.