Ce qu’on nous cache : ça décapite du journaliste à tout va dans toutes les guerres

par Olive Fossère, journaliste indépendant qui a mené l’enquête et recueilli ce témoignage de bon sens d’un parachutiste du 22ème rima :

"Ben ouais c’est banal, t’es con ou quoi ?,

moi qui vous cause, j’ai décapité du journaliste au Liban, au Kosovo, au Tchad et tout dernièrement au Mali, les russes y sont justes des mauviettes, z’ont gaché des balles pour une Nana Polikeskia ou quéquchose comme ça, alors qu’avec un bon poignard, zip, on ouvre et ça gicle à gros bouillon pas de bruit, juste un p’tit gargouilli...

C’est fou c’qu’on décapite à la guerre de nos jours, matin midi et soir et même pendant les r’pas...

Mais là, nous dire au pi’taine qu’y faudrait pas exagérer,

nous pas utiliser l’couteau qui nous sert à couper no’t beef pour égorger "des putes ou des chômeurs" comme dit l’Sonné du Bocal,

Faudrait quand même voir à pas tout mélanger !

C’est vrai quoi... Y’a quand même des risques d’maladies..."