Comme ça a été dit, ce mode d’action est voué à disparaître avec les rares émissions en direct qui subsistent, et qui vont devenir en fait du léger différé pour pouvoir avorter ce genre de séquence.
L’autre écueil c’est que le spectaculaire ne retient plus vraiment l’attention - les gens sont trop blasés - et peut même produire l’effet opposé, comme on l’a vu avec les FEMEN, dont le militantisme "situationniste" est quand même terriblement daté et presque ringard, seins à l’air ou non. Il y a 20 ans, et même il y a 10 ans, une interruption de plateau en direct faisait tous les journaux du lendemain, aujourd’hui, si ce n’est pas pour une prise d’otage ou un truc sanglant, les gens s’en foutent.