Si ceux qui nous manipulent, oh pardon, nous gouvernent n’en veulent pas, ce n’est pas pour la bonne santé des gens, ni pour la croissance économique en elle même, mais parce que c’est apprendre aux gens à penser différemment, c’est à dire, non plus en terme de consommation aveugle, mais consciente.
Or cette conscience mène à celle du partage. On ne peut passer à une agriculture humaine sans changer les règles du jeu. C’est ce que laisse entendre le fermier, car il sort d’un système industriel qu’il répudie.
Et croyez vous qu’ils en veulent du partage ?
Il n’y a que les fous et les idiots pour le croire.