Bonjour,
ce qui coutait le plus cher depuis l’avènement de la photographie au XVIIIième siècle, c’est l’image qui circulait sous le manteau et révélait l’envers des dessous féminins aux petits coquins voyeurs ordinaires. C’est Pierre Louys qui s’en chargea goulument et la femme ne manqua pas d’etre volontaire dans ces exhibitions. ces images figuraient ensuite légalisées dans les pages du journal du professeur Choron : Hara Kiri en vente chez les marchands de torchons pour tous les Charlie...
Mais au delà de la volonté des femmes de faire montre de leurs courbes, il y a des viols, abus et incestes illégaux poursuivis par la justice. Les banques n’ont pas pour mission d’acheter la loi ni les juges pourtant c’est ce qu’elles font avec nos sous.