Complot or not complot ? #4
Les dissimulateurs.
Bonjour
Durant cette enquête de Denis Robert, nous allons découvrir que le clearing, en dehors de la version officielle qui fait de lui un facilitateur d’échanges internationaux, est aussi le point de convergence de toutes les malversations des états, des grosses entreprises, des banques et des mafias mondiales. Le reportage n’est pas tout neuf. Il a été supprimé à maintes reprises d’internet, on se demande pourquoi. Cependant, à l’heure où on met en garde à vue un gamin de huit ans, la voyoucratie internationale continue tranquillement à trafiquer au nez et à la barbe de nos héros élus, redresseurs d’écoles maternelles, sans l’ombre d’un souci, et on en vient à penser que ce reportage est, au final, d’une actualité brûlante. Le reportage complet à été supprimé et ne n’ai retrouvé que celui fractionné. Bon visionnage.
Tags : Scandale Journalisme Justice Clearstream Denis Robert Banques Finance
9 réactions à cet article
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@michel-charles
Bonjour
il est vrai que les banquiers internationaux nous prennent vraiment pour des pommes. La passivité des moutons que nous sommes, ne leur donne pas tort.
Vive la France.
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Bonjour,
ce qui coutait le plus cher depuis l’avènement de la photographie au XVIIIième siècle, c’est l’image qui circulait sous le manteau et révélait l’envers des dessous féminins aux petits coquins voyeurs ordinaires. C’est Pierre Louys qui s’en chargea goulument et la femme ne manqua pas d’etre volontaire dans ces exhibitions. ces images figuraient ensuite légalisées dans les pages du journal du professeur Choron : Hara Kiri en vente chez les marchands de torchons pour tous les Charlie...
Mais au delà de la volonté des femmes de faire montre de leurs courbes, il y a des viols, abus et incestes illégaux poursuivis par la justice. Les banques n’ont pas pour mission d’acheter la loi ni les juges pourtant c’est ce qu’elles font avec nos sous.-
@Lisa Sion
Bonjour
François Ponsard a dit : « Quand la borne est franchie, il n’est plus de limite. »
Extrait : L’honneur et l’argent (1853).Les banquiers l’ont allègrement franchie et donnent magistralement raison à Ponsard.
Vive la France.
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@Le Sudiste
BonjourMerci Le Sudiste pour cet excellent reportage que j’avais rapidement vu il y a un moment et dont la teneur m’avait, par distraction, échappée. Les banques et les riches ne payent pas l’import et les politiciens véreux demandent au peuple de se serrer la ceinture. Saint couillon, priez pour nous.
Vive la France.
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@Le Sudiste
J’adore à 39.30 "officiellement nous sommes arrivé en train et vous fermez vos gueules".Pour vivre heureux, vivons caché !
Vive la France.
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