"Le violeur c’est nos amis, nos copains, nos frères" : tout ça est dit avec le sourire, très tranquillement. Chaque homme doit être présenté et perçu comme un danger et un prédateur potentiel. Quant on sait que ces gens veulent faire passer des "regards insistants" pour du harcèlement (qu’ils ouvrent déjà un dictionnaire) on ne peut plus douter du sens de leur démarche : instaurer un climat de méfiance, de terreur et de stigmatisation généralisée, dresser les femmes contre les hommes.
Au final un total délire paranoïaque revanchard et misandre qui se présente comme d’habitude sous le nom de "progrès", "tolérance". Au moins ce qu’il y a bien c’est que quand on entend ces mots dont le sens a été totalement détourné voir retourné pour essayer de nous convaincre de quelque chose, on sait que l’on a systématiquement affaire à une arnaque et à quelque chose de destructeur.