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Commentaire de Gaston Lagaffe

sur François Asselineau analyse le séisme historique de l'élection de Donald Trump à la Maison Blanche


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Baston Labaffe Gaston Lagaffe 11 novembre 2016 13:06

@Pyrathome
Par contre, combien de chances pour l’inconnu au bataillon d’obtenir ses 500 signatures ? Ce sera Asselineau ou Marine Le Pen dit il, le professeur utopique, après avoir repris la propre formule de la poissonnière : Ce n’est pas la fin du monde mais la fin d’un monde. Je le trouve assez naïf de croire que ce sera la fin de l’Otan et des vieilles institutions issues de la seconde guerre mondiale, sur une simple formule de campagne théâtrale de Trump, l’Otan est obsolète...

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Parce que ceux qui se gavent depuis des décennies grâce à l’Otan, vont tout laisser tomber sans coup férir juste pour plaire à un slogan électoral de Trump, en supposant qu’il reste fidèle à ses "promesses" de campagne. Les promesses de campagne, on sait ce qu’elles valent, surtout quand on a un flingue sur la tempe au moment de les tenir, si tant est qu’il y aie une réelle volonté de les tenir...

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Je vois mal le Biff Tannen caricatural changer radicalement la donne. Comme dit Médialter plus bas, on ne connaît pas tous les dessous de carte et les rapports de force en coulisses. Je crains que ce soit compliqué pour Trump de révolutionner quoique ce soit, le seul truc qu’on puisse constater, c’est que les gens dans leur majorité, commencent à en avoir plein le cul de la clique au pouvoir, politico-merdiatique, depuis 40 ans, c’est le seul truc positif que je tire pour l’instant de cette élection et j’espère bien que l’on va virer ces gens en France aussi des radios, tv, assemblée nationale, Elysée etc... et qu’on leur donne la médaille du travail qu’ils méritent : la valise ou la corde.


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