Est-ce par adhésion aux idées d’Emmanuel.. ? certes non, ou alors il s’agit d’un phénomène d’attirance exercée par le vide...

La vérité est bien moins vertueuse ; cette délurée est immanquablement aimantée par l’anatomie désirable du bellâtre...je dis "halte là.. !"...Barbara, même ton patronyme incite au stupre, mais tu fais fausse route, tu es trop verte, la pimbêche, pour Emmanuel, il préfère la femme mûre qui a affronté vents et marées, il apprécie la carlingue qui a des heures de vol et dont le sol du cockpit est jonché des traces interlopes d’une mémoire trépidante...ta soute estampillée "bio" n’y changera rien, tu peux remballer ta frisée et vendre ta laitue ailleurs, le maître étalon Emmanuel est à moi, rien qu’à moi...

Si tu persistes à fantasmer sur le titre de première Dame de France je trancherai dans le vif et ferai de toi le premier drame de France...vu.. ? tu peux te mettre "en marche" mais loin d’Emmanuel, compris.. ?

Emmanuel, débarrasse-toi au plus vite de l’autre, celle qui s’accroche à ton corps d’Apollon comme un bigorneau à son rocher...cette Brigitte n’est qu’une loque qui diffusera dans tes voyages diplomatiques des effluves de putréfaction...elle a connu la grande guerre, la ménopause sous Giscard...

Avec un peu de maquillage, quelques artifices, je serai pimpante, élégante, raffinée, digne de toi...

Je serai à découvert devant toi, offerte comme un distributeur automatique à une carte bancaire...viens me montrer ton PIB, la croissance promise, viens me submerger de tes coups de CAC 40 et de tes ahanements, ton serpent monétaire nous fera frissonner jusqu’au point culminant...tu ne peux deviner à quel point mes petites phalanges peuvent faire vibrer des bourses en action...

Réinventons l’Histoire d’Os jusqu’à ne faire qu’un, ô Emmanuel, mon petit chat, nous sommes félins pour l’autre, viens, oh oui, viens...tu es un esthète incompris qui a enfin trouvé son port d’attache...