@Nigari

"Évitez de vous aventurer à analyser et de surcroît condamner la parole de l’enfant comme invraisemblable..."

Ouais... Elle a bon dos la parole de l’enfant, surtout lorsqu’elle est mise en scène en privé par des parents, des "associations", des sectes... qui en attendent impatiemment des retombées sonnantes et trébuchantes. Il faut croire que le chiffre d’affaire de ces sectes, "associations", pseudo "psychologues", "victimologues", soit en crise pour qu’ils en viennent à organiser ce genre de cinéma.

Manque de chance, ces retombées ne se produiront pas. La parole de l’enfant, comme vous dites, elle doit être recueillie dans des conditions spécifiques, par des professionnels compétents qui travaillent pour l’institution judiciaire. Avoir peur de présenter l’enfant à ces services spécialisés dénote une manipulation et une intention malhonnête.