@François Radical III "...les pseudos leaders auto-proclamés comme Eric Drout, Jérome Rodrig’Oeil,
et le rouquin faisaient en sorte que les manifs n’avancent pas..."
J’évoquais le temps d’avant la médiatisation de ces "vedettes", celui des 2 ou 3 premiers Actes, pas plus. Ce qui fait le succès d’une manif ou d’une révolte, c’est surtout le nombre de manifestants.
@Yakaa "...le germe de la défaite et la mort annoncée du mouvement [des Gilets jaunes].
Sans doute. En fait la seule chance que ce mouvement avait de triompher (provisoirement, car il n’y avait pas de "suite" prévue à l’époque) aurait été que les citoyens rejoignent en masse les GJ dans la rue au cours d’un de leurs premiers Actes (samedis) et qu’ils investissent tous les lieux de pouvoir. Autrement dit, qu’ils renversent le gouvernement, ce qu’ils n’ont pas réussi à faire.
À ma connaissance il n’y a pas eu beaucoup de sympathisants d’extrême droite dans les comités locaux de GJ. S’il y en a eu, ils sont restés très discrets et n’ont pas fait de politique.
@Yakaa "Quand au mouvement des gilets jaunes, il s’est autodétruit tout seul à
force de refuser toute forme d’organisation, de représentants."
Vous n’avez pas compris grand chose au mouvement des Gilets jaunes qui s’était formé justement sur le refus revendiqué de n’avoir ni système d’organisation pyramidale (tremplin aux ambitieux de pouvoir), ni représentant (corruptible). C’est ce qui en faisait sa singularité et le démarquait d’autres formes de contestation structurées et politisées comme les syndicats.
Ce mouvement a périclité pour s’être laissé noyauter par les syndicalistes (on voit ce qu’ils donnent aujourd’hui...) et "la gauche".