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Commentaire de ELAA

sur Découverte majeure : la preuve d'un lien entre aluminium et autisme


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ELAA 7 décembre 2017 14:00

En France, les derniers chiffres officiels concernant l’autisme, remontent à 2005 et parlent de 1 enfant sur 150...

Mais le CDC américain tient au contraire un relevé très précis : Le groupe de chercheurs, qui analyse ces données annuelles depuis 2002, note que le taux de prévalence a augmenté de 78 % entre 2002 et 2008. En mars 2012, le taux de prévalence s’établissait à 1 enfant sur 88 (CDC, 2012). En mai 2013, les mêmes chercheurs rapportent que le taux s’élève maintenant à 1 enfant sur 50. On a même peur de continuer à compter, donc difficile de trouver les chiffres de ces dernières années.

Et là, ce ne sont que les chiffres (obsolètes) de l’autisme, on ne parle même pas des troubles moteurs, maladies chroniques, multiples allergies, syndromes de fatigue chronique (la Myofasciite à Macrophage est un syndrome de fatigue chronique, tout comme le Syndrome de la Guerre du Golfe = mêmes symptômes. Donc des millions de personnes dans le monde sont concernées.)

Nos enfants n’ont jamais été en aussi mauvaise santé : c’est très probablement multifactoriel, mais il est tout aussi certain que l’aluminium (vaccinal et alimentaire pour le cas du nourrisson) entre dans l’équation.

La recherche sur l’autisme a fait d’énormes découvertes ces dernières années, mais personne n’en parle. On sait désormais que ce n’est pas génétique, mais qu’il y a des susceptibilités génétiques (comme la sur-sécrétion de cytokines ccl2/Mcp1 ).

L’autisme est causé par une élévation anormale de cytokines dans le cerveau, en cours de développement, réaction immunitaire qui va provoquer des inflammations, elles-mêmes à l’origine de multiples dysfonctionnements (activation de la microglie, perturbation des synapses, mort des neurones...). Cette élévation peut être dûe à une infection (notamment en cours de grossesse) ou à la présence d’un neurotoxique dans le cerveau. La nature a pourtant tout fait pour limiter les inflammations cérébrales chez le nourrisson... notamment via le lait maternel.

Pour en savoir plus, les études en anglais ici.


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