@Mao-Tsé-Toung. Tu es piégé par les hypothèses clandestines qu’ils t’ont enseignées. Aussi raisonnes-tu comme si l’électron était un boulet de canon. Tout faux...
Qu’il soit stationnaire autour d’un noyau d’atome ou en cours de transfert depuis un émetteur jusqu’à un absorbeur, l’électron ne cesse jamais d’être une onde individuelle, en quatre composantes. Deux composantes orthochrones, deux composantes rétrochrones, on le sait depuis 1928, Dirac, 1930, Schrödinger.
Dans toutes ses interférences avec lui-même, l’électron dépend de sa fréquence intrinsèque mc²/h, connue depuis 1923 : de Broglie.
Dans ses interactions électromagnétiques, par exemple la dispersion Compton, intervient la seconde fréquence intrinsèque, 2 mc²/h.
Mais aucun transfert ne s’accomplit sans le récepteur, l’absorbeur, pour un électron comme pour un photon.
Notre macro-temps newtonien n’a pas sa place en causalité microphysique ; il n’est qu’une émergence statistique.