@PumTchak

Merci de m’attribuer ces "audaces spéculatives" qui sont toutefois, je dois modestement en convenir, davantage les stigmates d’une itinérance dans le vaste territoire de la désespérance...mon flair alimenté à l’essence d’altruisme erre comme une âme en peine au milieu de cette multitude de symptômes qui clignotent comme les feux de détresse de la pétrolette à remonter le temps de l’intéressé...oui, habile transition pour embrayer sur ce symptôme que vous évoquez, en l’espèce le bivouac à durée indéterminée du sujet en temps de guerre, entre tickets de rationnement, assiettes de rutabaga, raids de Stucka, et je n’ose aborder d’autres vaporeuses émanations qui obsèdent les pensées du malade...
Une vocation jusqu’alors cachée de garçon coiffeur pour femmes non consentantes émerge ce jour, mais creuser jusqu’à l’épuisement n’est pas une anomalie pour un féru de spéléologie, voila au moins un symptôme qui trouve une explication rationnelle...
Vous avez certainement raison, c’est moins un thérapeute qu’il faut qu’un chercheur endurant équipé d’une lampe frontale et de beaucoup de courage et d’une infinie patience...
"Débloquer les mécanismes psychiques rouillés" serait une réponse curative adaptée, mais le bain dans une baignoire de Frameto serait efficient comme un sparadrap sur une tête arrachée, il reste éventuellement la greffe...
De toutes manières rien ne peut être pire que l’inertie médicale...il arrive ce curieux paradoxe d’un acharnement qui serait non thérapeutique...