Limonov est loin de représenter la "ligne du pouvoir" en Russie. Le titre suggère qu’il n’apprécie la subversion qu’en France, avec trois petits points pour donner l’idée qu’il soutiendrait le supposé vilain-pas-beau autoritarisme en Russie ? Et bien c’est râté : Tour à tour, Limonov a été national-bolchevik farouchement anti-Poutine, puis épris d’Europe tendance bobo. Enfin le rôle de l’UE dans la création du chaos en Ukraine l’a réveillé un peu ! Mais je m’en méfierai toujours.