L’accusation "antisémite" est de plus en plus emploie comme arme d’intimidation pour étouffer tout critique, qui dérange le pouvoir sionistes.

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Cette accusation est utilisé avec des différents objectifs :

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1. Pour supprimer toute critique envers la politique l’état d’Israël
2. Pour isoler les gens comme Dieudonné, Soral, etc qui se "frottent" aux intérêts sionistes. Ceux qui sympathisent avec ses gens sont quasi systématiquement traité comme des antisémites par les pro-sionistes.
   
3. Puis le pouvoir sioniste se prend même aux avocats qui osent défendre des gens comme Dieudonné, en tentent de détruire leur carrière professionnelle - exemple Maître François Danglehant

   .... qui est convoque devant un tribunal d’inquisition ou le verdict est fixe d’avance ! L’objectif est d’intimider les autres avocats à défendre des "personnes clivantes"
   

4. Nos médias ont subi une véritable purge, la pluralité de l’information a été supprimé avec le résultat qu’on nous présente une vision unique du monde par des commentateurs / journalistes qui doivent être aligne sur la vision pro-sionistes, ce que reviens en fait à une censure féroce !
5. Pour faire l’amalgame entre les deux termes antisémites et antisionistes
   

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Shulamit Aloni, ex-ministre israélienne explique la combine sioniste

Shulamit Aloni était une femme politique israélienne et une militante de gauche. Elle était membre éminent du Camp de la paix. Elle a fondé le parti Ratz et fut leader du Meretz. Elle fut également ministre de l’Éducation de 1992 à 1993. Shulamit Aloni était membre du Comité directeur du Yesh Din, organisation fondée en mars 2005 et qui s’oppose aux violations des droits des Palestiniens dans les territoires occupés... mais elle ne supporte pas qu’on critique la politique israélienne et elle nous donné la recette pour faire taire les gens ...

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