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Commentaire de Serge ULESKI

sur Brigitte Bardot - "J'ai envie de quitter la France, tellement c'est devenu dégueulasse !"


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Serge ULESKI Serge ULESKI 10 juillet 2020 09:41

Je me disais aussi... ça ne pouvait pas être autre chose... Berkoff étant le relayeur... de la parole de Bardot.... 

André Bercoff (né 1940) : « Bercoff dans tous ses états ! » tel il s’affiche. 

Rien dans la forme, rien dans le fond, râleur bruyant, hurlant, vociférant, de lui pas d’analyse digne de ce nom mais un râle continu car intarissable, une douleur intraitable car selon Bercoff, tout va à vau-l’eau, vraiment !

Bercoff, c’est l’hôpital d’une contestation située franchement à droite. Sournois, et alors que d’aucuns ont connu André Bercoff à gauche, aujourd’hui partout et nulle part mais fermement à droite quand même, il n’a de cesse, émission après émission, d’attirer dans ses filets ceux qui ont beaucoup de mal avec nos Français issus de l’immigration du travail et de notre empire coloniale ; en particulier, ceux qui ne sont décidément pas contents de leur sort et qui le font savoir partout ailleurs que chez Sud-Radio qui les prend régulièrement pour cibles tout en se gardant bien de leur accorder un droit de réponse. 

Obsédé par une guerre civile qui, décidément, tarde à venir - comprenez : guerre entre les Français de souche et les Français issus de l’immigration (en cela il rejoint les E. Lévy, les Zemmour et combien d’autres ?) -, pour un peu, on en viendrait à soupçonner cet énergumène de la souhaiter cette guerre civile, d’autant plus qu’un Laurent Obertone (autre chantre de la menace d’une guerre inter-ethnique) est son invité favori et les auteurs de l’éditeur Ring ( extrême droite sioniste) aussi. 

Et enfin : 

Philippe Bilger (né 1943) : fils d’un père d’extrême droite condamné à dix ans de prison à la libération, magistrat dont les contribuables ont payé le salaire près de cinquante années durant et aujourd’hui sa retraite plus que confortable, légaliste jusqu’à la plénitude d’une soumission à toute épreuve aux grands corps de l’État, non content d’avoir servi « une justice fatalement pour les riches », cet individu s’autorise à cracher quasi systématiquement sur ceux qui ont le malheur de désigner les locataires de l’Elysée et de Matignon comme les principaux responsables de leurs déconvenues et des nôtres aussi...

A la retraite, on retrouve donc le même candidat à la servitude et à l’obéissance : soumis un jour, soumis toujours ! 

Tel père, tel fils ?


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