Non, les journalistes ne touchent pas de pots-de-vin de la part de pfizer pour mentir, ils cherchent juste à conserver leur travail. Car dire la vérité ou faire son métier (quand on est médecin par exemple), c’est risquer son "boulot", c’est-à-dire son revenu, même si ce que l’on fait est en fin de compte l’exact opposé de ce que devrait être son vrai métier (informer / soigner).
Un peu comme les nazis qui emmenaient les juifs dans les camps (sans forcément savoir ce qui leur arrivait après, d’ailleurs), on sortait d’une grosse crise économique, il fallait bien faire ce que l’on nous demandait pour garder son emploi et ... nourrir ses gosses.
C’est pour cela que toute société qui produit du chômage (en France, à partir de 1973 quand on a privatisé la création monétaire : avant on pouvait embaucher n’importe quel surplus dans une entreprise publique) se destine à une dictature certaine. Qui dit chômage, dit acceptation de n’importe quel boulot, même immoral, pour se nourrir, pour resté inclus. Le chômage est une bénédiction pour nos dirigeants : ils peuvent nous manipuler comme des pions, c’est la clé de voûte de la soumission intégrale. Donc ce n’est pas demain qu’il va disparaître.