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Commentaire de Vulpes vulpes

sur Dostoïevski : quand la haine de soi devient "un plaisir amer et désespéré" qui vous enferme au sous-sol


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Vulpes vulpes Vulpes vulpes 4 juin 2022 16:18

@Valyria Tanit
 

Je crois qu’avec Dostoïevski il n’y a pas de fin, ni d’ordre. Chacune de ses œuvres peut servir de commencement, mais cela n’empêche pas d’y revenir – une ou plusieurs fois.

Je crois que pour ceux qui aiment Dostoïevski, il n’y a pas d’entrée, ni de sortie : on s’installe dans son univers, et on ne le quitte plus.

Bonnes lectures à vous !

 

P.S. Si l’ouvrage cité dans l’article (JONES, M. (2002). Dostoevskii and religion, in W. Leatherbarrow (dir.), The Cambridge Companion to Dostoevskii, Cambridge University Press, Cambridge) vous intéresse, il est disponible ici.

 


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