@Norman Bates
Oui, je sais. Ajoutez aussi le presque-roi Charles, l’un des
premiers promoteurs du WEF, qui a loué publiquement le great reset. Quand
Schwab se laisse aller à se vanter d’avoir les chefs d’Etats sous sa main,
citant même Poutine (galéjade), il ne cite jamais le prince Charles, comme s’il
se sent timide envers lui. Peut-être que le Commonwealth a une place à part
dans ce programme.
Il faut rappeler le deal entre Roosevelt et Churchill qui se
sont rencontrés pendant deux jours en août 1941 sur l’USS Augusta. C’est là qu’est
née la Charte de l’Atlantique. A Roosevelt la Pax Americana, après la guerre. A
Churchill le maintient du Commonwealth, en dépit de la décolonisation inéluctable,
de la City et peut-être encore l’espoir de la livre sterling comme monnaie de référence
mondiale.
Les mémoires de guerre ne racontent que ça : les deux
larrons, Churchill et Roosevelt qui font, sans jamais cesser, jusqu’au bout, des
petits dans le dos à de Gaulle : des coups fourrés contre lui avec des
hommes de paille quand il ralliait les colonies à la France Libre, des
batailles qui lui ont été soit refusées, soit entravées, une pénurie d’armes
et de provisions constante pour la résistance Française, alors que l’armée
Britannique a été grassement pourvue, avec grande liberté de manœuvre stratégique.
Même Dwight Eisenhower, alors commandant en chef de toute l’armée Américaine,
ne cachait pas auprès du Général son désespoir. de Gaulle a résisté à cet épuisement,
il était impossible à domestiquer, j’ai demandé à être enterré avec lui, je me
laisse aller. Allez, si, pour vider ça : l’histoire de France a deux OVNI,
qu’on n’a toujours pas compris : Jeanne d’Arc et Charles de Gaulle.
Bref, la France est l’une des cibles de choix, peut-être
même la première d’Europe, pour la démolition contrôlée de l’économie (et ça ne
date pas de Macron, même si les prédécesseurs étaient contraints, alors que lui
porte la mission de le faire). On l’apprend maintenant, l’Allemagne aussi, trop
puissante : on voit la différence entre Merkel et Sholz le Schpountz. Il
est possible que cela ait été l’effet collatéral recherché par Washington au
piège Ukrainien dressé contre Poutine. Peut-être que le Commonwealth sera relativement épargné par cet aspect : raison pour laquelle j’écrivais qu’ils "sont au minimum dans la connivence" faute d’en savoir plus, en parlant de Trudeau et Ardern. On
retrouve aussi la fracture entre producteurs et marchands, que sont les
thalassocraties, les industries transnationales prédatrices avec elles.
Pour la vaccination, c’est autre chose, même si cela rentre
aussi dans le plan d’ensemble de l’oligarchie.