@Décoder l’éco
Merci de
votre réponse, que je n’attendais plus dans ce site devenu une fontaine à gremlins.
(En passant, je ne supprime pas les messages, c’est Avox qui le fait et je n’ai
même pas vu ce qui a disparu).
Par exemple au moment de la 1ere dose, ce sont
les non vaccinés. A la dose 2, ce sont les vaccinés 1 dose. A la dose 3, ce
sont les vaccinés 2 doses. C’est incohérence flagrante s’explique entièrement
par une mauvaise catégorisation des décédés.
Oui, ces vagues qui s’entrecroisent n’ont pas de
raison d’être puisque c’est à statut vaccinal constant, sur ratio identique des
populations. On devrait simplement voir si tel statut vaccinal tue moins, ou
plus, avec des lignes approximativement parallèles à celle témoin des non
vaccinés. La remarque de Martin Neil que vous avez mis lien vaut
aussi pour la France : un décédé covid est ajouté aux non vaccinés s’il a
été piqué, je crois moins de 21 jours avant, Mais le graphique (les données de
l’ONS britannique) renseigne quand même des vaccinés de telle dose à moins de
21 jours : donc je ne vois pas.
Je remarque aussi que si un vaccin n’agit plus,
la mortalité devrait simplement revenir à la ligne témoin, et non circuler bien
au dessus comme le montre la courbe des 2ème dose à plus de six
mois. Peut-être que la notice du produit a oublié de renseigner des effets un
peu trop puissants contre le système immunitaire naturel.
Ce qui est
au moins sûr, c’est qu’au fur et à mesure des doses que les gens accumulent, le
graphique renseigne un franchissement de plus en plus rapide de la ligne
témoin : ça va de mal en pis.
Du coup,
j’ai lu votre étude de Martin Neil, (rapidement, je n’ai pas tout retenu). Il y
a cette fois-ci des tableaux à courbes parallèles. C’est vrai qu’il met tout
par terre : dès la collecte des données vers l’ONS les infos selon les
agences font divergences. Et il y aurait trop de catégories de
populations morts/non morts à mettre face à face entre les tranches d’âges et autant
selon les statuts vaccinaux pour obtenir des ratios fiables.
C’est pratique la médecine d’ordinateur : c’est
une multiplication de variables, qui rendent les paysages d’analyse flottants,
et pendant ce temps, en loucedé, grâce à l’abracadabra d’Excel, 100000 généralistes ne peuvent plus soigner
une maladie respiratoire, la plus classique qu’ils rencontrent depuis que ce
métier existe.
RIP le
primum non nocere.
Comme vous
le suggérez, on s’achète à la place des nouvelles doses de vies pour accumuler
des super-pouvoirs : peut-être un syndrome super-Mario qu’un sociologue
nous sortira un jour (ou pas, vu la tronche du nouveau monde qui vient).