@nono le simplet
Quelques question simplettes :
Où force-t-on les gens à s’injecter un produit inconnu sans la composition écrite et sans avoir suivi le protocole établi par la loi ?
Où oblige-t-on les gens à porter un signe distinctif et contrôlable pour sortir dans la rue, faire ses courses, aller au restaurant, aller se faire soigner ?
Où trouve-t-on des gens éjectés de leur travail pour avoir refusé de se plier à un acte contraire à leurs conviction et touchant l’intégrité physique de leur personne, sans pouvoir accéder à aucun des services prévus par la loi en cas de perte de travail ?
Où trouve-t-on la possibilité de s’expatrier sans problème pour refus de porter des armes au lieu d’être traîné de force sur des lieux de combat ou plutôt de massacre ?
Où trouve-t-on un gouvernement élu par plus de 50% des inscrits sur les listes électorales ?
Où trouve-t-on un nombre croissant de gens dormants sur des cartons à la clarté des étoiles ?
Où trouve-t-on l’obligation de se soigner suivant les critères établis par une mafia pharmaceutique avec, à la clef une exclusion du système de santé, de ceux qui n’y adhèrent pas complètement ?
Où trouve-t-on un nombre démentiel de personnes exclus du système laboral, persécutés et vilipendés de par leur simple opinions (délits d’opinions) ? Comme du temps du Goulag : scientifiques, médecins, soignants, pompiers, militaires, pilotes d’avions etc...
Où trouve-t-on des gouvernements dont les narratifs se basent sur le mensonge et la parjure ? Des gouvernements qui n’ont aucun respect des accord passés
Où trouve-t-on des gouvernements capables de se faire sauter leurs propres infrastructures afin de détruire le bien-être de leurs propres citoyens ?
En bref où trouve-t-on des gouvernements qui agissent ouvertement contre l’intérêt de leur propre peuple ?

Un Simplet se garde bien de répondre à des questions gênantes et sa seule réponse, face à sa tartufferie et son hypocrisie flagrante, est un flot de bave.
Vu le nombre de points de suspension l’on comprends très bien qu’il se suspend lui.même, étant donné que ses arguments se trouvent suspendu derrière ce vide littéraire bien utile pour un esprit simplet.