@Yvan
Trump est à la sincérité, ce que la matière est à l’antimatière. Son élection en 2016 a été une surprise partielle pour "ceux qui décident" (indice : pas les électeurs) mais ils savaient le "coup" rattrapable. Preuve en est qu’il a eu droit à presque tout pour le bloquer et le brider, test psychiatrique d’habilité à gouverner, procédure d’empêchement pour le destituer, accusations bidons, collaborateurs évincés, procès en série, infiltrations de son équipe par des saboteurs et informateurs de première main, etc...
Après son mandat, les troupes US n’avaient quitté aucun pays (ils sont partis d’Afghanistan sous Biden) et quasiment tout ses projets ont été éviscérés et dénaturés efficacement.
Ses chances de réélection en 2020 étaient de zéro, le parti "démocrate" ayant déclaré avant les élections que quelles que soient leur résultat, Biden serait président. Il faut faire un dessin ? L’usage du vote électronique aura été d’un grand secours en l’occurence et si cela ne suffisait pas, la marche sur le Capitole aura été magnifiquement retournée contre lui en le faisant passer pour un commanditaire d’insurrection, ce qui n’était pas le cas.
Trump gêne "ceux qui décident" uniquement par ses propos qui ne sont pas contrôlables. Il dit des choses que les citoyens ne devraient pas entendre, même si en fin de mandat l’appareil de censure étatique et médiatique commençait à contrôler son atteinte du public.
Son principal adversaire pour cette année est un président qui vient de se voir blanchir pour avoir conservé des documents confidentiels au motif que son état mental est tellement détérioré qu’il ne peut en être tenu pour responsable. Dixit : il est irresponsable sur le plan pénal d’avoir violé la loi de son pays, mais aucune incidence sur le temps très partiel qu’il effectue à la présidence des USA.
"Ceux qui décident" n’ont rien à craindre de Trump vu leur contrôle parfait de l’appareil d’Etat et des grands médias.