Le bal des serpillères continue.
On en est à se demander, QUI est le plus sale, entre ce que l’on nettoie, et l’eau crade qui en résulte.
Force est de constater que le pouvoir, dit " méritant ", se limite à son propres mérite..
Celui de se refaire une virginité, sur peau en pourriture.
Soit, il est lavé à grande eau de grâce plénière.....
Mais l’odeur du corps corruptible reste, et se cristallise, par cette sacralisation paternelle !
C’est comme rouler une pelle à un assassin ! Cela n’effaceras pas l’horreur de ce qui a été perpétré....Cela démontre juste, que vous faites partie de la même communion d’idées.