@nono le simplet Un brouillage ou pertes d’informations par ondes radio n’empêche pas de poursuivre son vol selon le plan prévu MAIS créé, immédiatement (pour l’avoir vécu dans des conditions délicates c’est stressant) pour les pilotes de sérieuses interrogations très perturbantes devant faire par principe envisager de remettre en cause les choix initiaux au profit des solutions de déroutement qui son OBLIGATOIREMENT étudiées et notées AVANT le vol. Si le contrôle aérien n’est pas joignable et ne peut fournir d’information fiable ALORS la procédure de déroutement DOIT passer au premier plan SURTOUT si l’on sait que les conditions météo vont nécessiter les aides indispensables radioélectriques de positionnement. Le GPS reste règlementairement une aide à la navigation et pour l’IFR on dispose encore des moyens radiolélectriques éprouvés et fiables quand ils fonctionnent et tous les pilotes sont sensés savoir encore s’en servir.
Un accident US célèbre arrivé en Yougoslavie avec mort d’un Conseiller du Président a été du au fait que le pilote, au gradé militaire, n’a pas été capable à l’approche du terrain de repasser d’une navigation GPS à une radioélectrique classique dégradée donc minimum mais suffisante. Enorme scandale à l’époque.