Normal, ils se tiennent tous coude-à-coude. Les industriels sont actionnaires des groupes médiatiques, les journalistes ne veulent pas perdre leurs postes et sont prêts au pire pour ne pas être évincés. Et puis il y a aussi de la corruption, des dessous-de-tables entre les grands groupes (Monsanto, Rhone-Poulenc, Bayer, etc...) pour que certaines recherches ou enquêtes soient en leur faveur, pour qu’un tel au ministère de l’agriculture ferme sa gueule, ou pour qu’une décision de justice aille en leur faveur.