À noter que le gouvernement français, à commencer par la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, ne s’y rendra pas.
C’est quand même une maladie qui motive différemment les diverses couches de la population. Moi, je n’ai jamais donné le moindre kopek pour la recherche, parce que n’étant ni homosexuel, ni bisexuel, ni toxicomane, ni même sodomite hétérosexuel, je me situe entre pas très concerné et pas concerné du tout...