En fait, l’information figurait déjà dans un inédit de Hergé, Tintin en Mésopotamie, dont l’original a malheureusement été détruit lors du bombardement de Nagasaki (bombardement faussement imputé aux américains, alors qu’il s’agissait d’une bombe japonaise qui avait explosé par erreur et que les américains ont préféré laisser dire que c’était eux afin justement de dissuader la Syrie de s’engager dans la recherche nucléaire avec l’aide du grand-père de Fidel Castro parce que Fidel n’était pas aimé de son père (ainsi que l’ont rapporté Hemingway et Gary Cooper, ce qui explique d’ailleurs son anti-américanisme primaire)).
D’ailleurs Hergé a été exécuté au cyanure radioactif par les services secrets Iraniens pour qu’il ne révèle pas l’emplacement de la centrale syrienne à Tito (qu’il avait rencontré lors de ses repérages pour le Sceptre d’Ottokar) qui voulait l’utiliser pour soumettre le Vatican à un odieux chantage.
C’est ce lourd secret que Jean-Paul II a appris de la bouche de la dernière survivante de Fatima et de celle du Dalaï Lama, qui l’avait appris directement de Hergé lors de leur rencontre dans un monastère secret au coeur de l’Himalaya (monastère dans lequel sont conservés les corps embaumés de Hitler et d’Eva Braun) dans lequel ils écrivaient ensemble le scénario de Tintin au Tibet tout en mettant en garde le jeune Tchang contre ses pulsions homosexuelles d’adolescent.
Mais ceci est une autre histoire (le Tibet) (j’y reviendrai et je vous expliquerai pourquoi Hu (Jintao) tient le Tibet d’une main de fer (la crypte dans laquelle se trouve le corps embaumé de Hitler contient un terrible secret concernant la nature réelle de Jésus-Christ. Je vous révèlerai ce secret pour la préservation duquel l’Opus Dei s’est allié aux triades japonaises).
Ah, j’oubliais : la centrale syrienne avait été finalement transférée dans une vallée reculée du Kosovo suite à un accord entre Milosevic et Hafez El Assad, d’où les bombardements de Belgrade par l’OTAN, inexpliqués jusqu’à ce jour mais bien compréhensibles quand on prend conscience du danger mortel que cela représentait pour l’humanité.
Milosevic a d’ailleurs tenté de vitrifier New York en larguant la bombe (qui avait finalement été fabriquée) sur Manhattan, mais le pilote du Boeing 707 qui devait effectuer ce largage (un transfuge bosniaque musulman retourné par le FSB de Vladimir (Poutine)) a compris au dernier moment qu’il était en fait manipulé par un groupe d’officiers dissidents de la CIA, du MOSSAD et d’Al Qaïda dont l’objectif était de prendre le pouvoir mondial ; terrassé par la stupéfaction car il s’attendait à tout, mais pas à ça ! il se serait suicidé dans le poste de pilotage et c’est pourquoi l’avion s’est écrasé sur le Pentagone (ce qui a permis aux américains de récupérer la bombe avant que les journalistes de RSF ne s’aperçoivent de quoi que ce soit).
Mais les américains ne savaient pas que la centrale syrienne qui avait permis de fabriquer cette bombe avait été transférée depuis longtemps au Kosovo. D’où ce bombardement d’un hectare de désert syrien par les israéliens.
Mais tout ceci est accessoire.
L’essentiel pour l’avenir de l’humanité est que le buisson ardent (celui qu’on aperçoit dans les 10 commandements) continue à être arrosé tous les matins dans le monastère Sainte Catherine du Sinaï par le petit neveu d’Ali le Chimique (le cousin de Saddam Hussein).
Mais là, j’en dis peut-être trop...
DERNIERE MINUTE : ce serait Ariel Sharon (dont l’implant cervical n’aurait pas été totalement désactivé) qui aurait ordonné le bombardement du désert Syrien. (merci à quiconque a des informations sur ce point de les faire connaître d’urgence par mail à [email protected])