Le
Bolloc’h est l’archétype du « con de gauche ».
Calmez-vous... Avant de me sauter dessus, lisez la suite.
Cette
expression est celle qu’avait utilisé Soral pour définir Naulleau.
Elle est beaucoup moins méprisante que les apparences le suggèrent.
Naulleau avait eu le courage de débattre publiquement avec lui, même
si lui seul, Naulleau donc, avait alors été autorisé à se faire morigéner
dans les médias de masse par les bien-penseurs.
Mais il l’a fait. Le Bolloc’h a fait de même. J’ai bien dit « con
de gauche », pas « connard de gauchiste ». Le
Bolloc’h est un type de gauche à l’ancienne qui accepte la dualité
du syndicalisme : d’un côté le syndicalisme qui permet
d’obtenir un peu plus d’équité sociale, de l’autre le syndicalisme
qui suce le pouvoir, sait casser les grêves et dont les leaders vivent grassement sur le dos
de la bête.
Mais
malheureusement, c’est aussi un type limité. Le « con »
est un peu fort mais une expression sert à cela. Quand un type se vante d’avoir élu deux fois Macron
puis vient se plaindre du pass sanitaire, de la réforme des
retraites et toutes les mesures prises par Macron, il n’y a pas grand
chose à lui répondre d’autre qu’il est un idiot utile du globalisme
(je ne suis même pas certain qu’il sache de quoi il s’agit). On peut
toujours discuter avec comme cette laborieuse émission a tenté de permettre à ses sociétaires de le faire, mais l’exercice est
très limité, surtout quand l’invité est un bobo dopé au narratif globaliste
depuis sa plus tendre enfance. On a là un endoctriné typique qui
maintiendra sa position probablement jusqu’au bout, même quand lui ou ses proches seront directement impactés par les conséquences de sa soumission.
Palomba a résumé la contradiction évidente d’un Le Bolloc’h qui
répète bêtement les poncifs du système sur le RN, d’un type certes sympathique mais assez idiot pour faire son castor et adopter la posture du bobo proche du peuple
mais à 30K par mois.
Tabibian
a été déplorable mais comme d’hab : cet (ex- ?)maçon n’a
aucune colonne vertébrale politique. C’est un vague « con de droite »
mais qui se prétend de « gauche », un confus intégral comme on dit désormais et qui, comme Le Bolloc’h ménage la chèvre et le choux pour garder sa place. Le seul qui s’en sort est le type
complètement à gauche (sur le plateau). Il apporte un peu de raison
dans cette cacophonie. Le pauvre Morillo n’a globalement pas réussi
à tenir ses chroniqueurs manifestement trop excités à l’idée de
se faire l’invité. Dommage. Il y avait mieux à faire. Soutien tout
de même à TVL (comme toujours) pour la tentative de
décloisonnement.