Jamais la tartuferie n’avait atteint de tels sommets dans l’histoire de notre beau pays.
On se fiche de nous... royalement, et sans vergogne.
Et, en souhaitant que nous en redemandions, en plus !
Bien voyons, pourquoi se gêner avec les cons !
La salope d’Italienne, courtisane en chef ayant passé la moitié de sa vie à tailler des pipes, pour, durant la seconde, s’élever hiérarchiquement grâce aux courts instants de joie ainsi procurés, n’en finit pas de dispenser ici et là ses pitreries caritatives, de distiller le miel fielleux de sa voix éraillée.
Oui, à tous les idiots du monde prêts à se faire enrôler au seul prétexte d’une tolérance désormais obligatoire, de ce Bien auquel nous devons tous adhérer puisqu’il justifie tant d’inégalités présentes.
Quand les USA envahissent tel territoire, immanquablement le font-ils pour se dresser contre le Mal, défendre la démocratie, non ?
Carla, même combat... accumuler le pouvoir au prétexte de la gentillesse, de la bonne cause et des bonnes œuvres.
Et, ça marche !
Aristocratie écoeurante du show-biz.
Qu’on la passe à la tonte, cette pute, donc !
Comme on le fit naguère avec des femmes qui, elles, avaient pourtant si peu fauté.
Il faut croire que l’on se trompe toujours d’ennemis, et que l’on tond jamais les bons, l’homme passant ainsi sa vie dans l’erreur.
Carla, la nouvelle Marie-Antoinette qui, par ses frasques, son goût inextinguible du luxe, paupérise le peuple de France, incitant son petit mari à aller toujours de l’avant.
A la guillotine, comme l’Autrichienne !
Son crétin d’époux avec !
Un vent de révolution souffle sur la France, qu’il se fasse ouragan, qu’il rase tout !
Qu’il désintègre ses nouveaux riches -financiers, chefs d’entreprise voyous- roulant en Porsche sur nos autoroutes et chaque jour plus nombreux à venir ainsi nous narguer.
Marre de tout ce cirque, finissons-en !