Echo répond fort bien à ce Glub qui, démasqué -« je ne suis pas sioniste, mais... »-, revient sur des dires auparavant jugés excessifs... édulcore, marchande presque... enfin, bafouille ! Là, j’ai dit « sioniste » : sûr que ça va le faire sortir de ses gonds... gonds sionistes, s’entend ! Oui, on sait pour qui il a voté le Glub ! « Glups », pourrait-on ajouter, en signe d’une déglutition difficile. N’a-t-il pas choisi son mentor en cynisme (inutile de le nommer celui-ci !), ce Glub parangon de vertus sophistiques -autrement appelées « dialectique du tartufe » !- virant à l’aporie (ou impasse) ?

Oui, pour ce Sarko dont le petit corps malade résonne, à chacune de ses piètres prestations médiatiques -hyper protégées (sinon il serait déjà politiquement mort)-,du son de la kyrielle de casseroles accrochée à ses courtes jambes.

Seule une dictature molle (voir les déplacements du bonhomme hors les foules hostiles - ce, avec une claque triée sur le volet l’adulant à ses [brefs] passages) justifie que ce pitre en chef ne soit depuis longtemps à terre... au pied de son trône de carton-pâte !

Bien entendu, il est dans le coup le Napoléon-le-petit (dit, Pinocchio au nez sans fin), ayant eu tout intérêt à renflouer la candidature d’Edouard contre Jacques, ceci à grand renfort de pognon détourné (et non justifié comme le sous-entend Glub).

Tout puissant est amené à se salir les mains (on le voit en Iran, contre ce mouvement de rue anti-démocratique encouragé extérieurement par des pseudo démocraties !), mais chez notre président l’entreprise de souillure intégrale devrait alerter tous les hygiénistes du monde.

Car, tant de morts à l’actif de cet arriviste : Bel Ami n’est de facto pas si joli joli ! Il y a en lui du porc même, que l’on ne saurait soustraire à sa boue ! Alors, Glub, toutes vos belles paroles (dans la forme), qui ne sont (pour le fond) qu’inepties ont bien du mal à nous cacher votre cynisme, si bien repéré et décrit plus haut par Echo. Oui, Sarko est bien l’incarnation de ce psychopathe moderne (au sens sociologique plus que médical... quoique !) décrit naguère par Norman Mailer : un type sans âme, au faux self, sans aucune éthique (nul surmoi), et capable de tout -car ne croyant en rien.

Les jeunes, en leur langage fleuri, qualifie volontiers tel personnage à l’idiosyncrasie si marquée, de bouffon, voire de... « petite merde » ! A méditer, par nos temps de jeunisme !