On pourrait croire que :
Chez Barbier tout est bon.
C’est comme dans le cochon.
Qu’on aime particulièrement ses expressions .
Qu’on apprécie ,sans limite aucune, son humour taquin.
Qu’on goutte bien évidemment son érudition.
Qu’on envie aussi son obsession.
MAIS
Chez Barbier tout est vil.
C’est comme un parfait valet servile.
J’aime particulièrement son allure athlétique.
J’apprécie ,sans limite aucune, sa voix rachitique.
Je goutte bien évidemment son savoir squelettique.
J’envie aussi son sens inné de l’esthétique.
Barbier est le résultat d’une manipulation génétique.
Le croisement de E.T. et de John Merrick.