Cesse donc de proférer des inepties aussi grande l’électrolyse naturelle produisant des ions H+ à la surface lunaire.
La mesure vérifiant la présence d’eau à l’aide d’un spectromètre de masse est une donnée incertaine puisque le robot envoyé sur la lune devrait d’abord enfoncer une pointe creuse dans le sol et y extraire des élements contenant au moins quelques molécules d’eau en nombre suffisant et ne pas avoir été préalablement contaminé par des traces de combustion ou de condensation durant le voyage.
Concernant la présence de nuages d’eau et de poussière se déplaçant au dessus du sol lunaire, je n’y crois pas une seule seconde. En effet, la création d’un nuage exige l’existence d’un cycle permettant à l’eau de transiter par les trois états d’un corps passant des stades solide à liquide puis liquide à l’évaporation gazeuse. Et puis le nuage aurait besoin d’un minimum d’atmosphère pour conserver un mouvement perpétuel qui puisse maintenir la présence de cette eau à la surfaace de la lune.
Joélim essaye tant bien que mal de ma taquiner depuis la fessée que je lui ai administrée pour mauvaise conduite, leçons non apprises et des notes en baisse constante. Il aimerait me prendre à défaut, mais n’y parviendra certainement pas en raison de ses déficiences consternantes certaines sur les sujets à caractère scientifique qu’il est bien incapable de maîtriser, faute pour lui d’avoir été poursuivi par les études qu’il a ratées.
La Ceinture de Van Allen :http://fr.wikipedia.org/wiki/Ceinture_de_Van_Allen
source Wikipédia :
La ceinture de radiations de Van Allen est une zone toroïdale de la magnétosphère terrestre entourant l’équateur magnétique et contenant une grande densité de particules énergétiques.
La rencontre de ces particules avec les molécules de la haute atmosphère terrestre est à l’origine des aurores polaires.
Les instruments embarqués par Spoutnik 2 avaient correctement mesuré les effets de ces ceintures, mais ces informations n’avaient pas pu être reçues par l’URSS, car Spoutnik 2 traversait les régions incriminées à des moments où il n’était pas visible depuis le territoire russe.
Cette ceinture ne fut donc décrite qu’un peu plus tard au cours de l’année 1958 par James Alfred Van Allen à partir des mesures effectuées par des compteurs Geiger embarqués dans les satellites Explorer 1 et Explorer 3.
On peut, en réalité, considérer qu’elle est constituée de deux zones distinctes appelées « ceinture intérieure » et « ceinture extérieure ».
La première, située entre 700 km et 10 000 km d’altitude, est constituée principalement de protons à haute énergie (jusqu’à plusieurs centaines de MeV à des fluences de plusieurs dizaines de milliers de protons par centimètre carré et par seconde dans les zones les plus intenses) provenant du vent solaire et du rayonnement cosmique, piégés par le champ magnétique terrestre
La ceinture extérieure, plus large, se déploie entre 13 000 km et 65 000 km d’altitude ; elle est constituée d’électrons également à haute énergie (< 5 MeV) à des fluences de l’ordre du millier de particules par centimètre carré et par seconde. Les particules des deux ceintures se déplacent en permanence à grande vitesse entre les parties nord et sud de la magnétosphère.
Bien que les flux ne soient pas strictement isotopiques, peu de modèles prennent en compte l’anisotropie car elle s’annule sur plusieurs révolutions orbitales pour un objet typique.
Une exposition, même de courte durée, aux parties les plus intenses de ces ceintures de radiations étant fatale, la protection des astronautes par un blindage adéquat et la sélection de trajectoires minimisant l’exposition est nécessaire.
Les vents et tempêtes solaires :
Le vent solaire est un flux de plasma constitué essentiellement d’ions et d’électrons qui sont éjectés de la haute atmosphère du Soleil. Ce flux varie en vitesse et en température au cours du temps en fonction de l’activité solaire. Pour les étoiles autres que le Soleil, on parle généralement de vent stellaire. Une tentative de recueil de poussières issues du vent solaire a été tentée par le lancement d’une sonde (mission Genesis) mais la récupération des échantillons s’avère délicate suite à l’écrasement sur Terre de la capsule les contenant.
http://www.dailymotion.com/video/x73z47_eruption-solaire_tech
http://www.wat.tv/video/tempetes-solaires-loupe-1fehi_1ezx5_.html
On peut ajouter que les éruptions solaires sont imprévisibles compte tenu de l’impossibilité de procéder à des études sérieuses sur le soleil.