"La concurrence intraeuropéenne exercera
une pression telle que nos futurs gouvernements devront
renoncer à quelques aberrations qui alimentent d’importantes
sorties de capitaux. Citons-en trois : l’impôt de solidarité
sur la fortune, l’impôt sur les bénéfices des entreprises et
les tranches supérieures de l’impôt sur le revenu. (...)
De la libération des prix à la flexibilité accrue du
travail, en passant par la fiscalité, c’est à notre
engagement européen, et à lui seul, que nous devons autant
de réformes successives que nous n’aurions pas su ou pas pu
mener par nous-mêmes (7) »"