Soral ou Jones, ici, tombe dans l’éternel piège des défricheurs, qui par leurs soupçons et les intentions qu’ils prêtent abusivement à leurs ennemis parviennent parfois malgré eux à révéler quelques structures de la corruption, mais deviennent de plus en plus en plus contre-productifs (je ne dis pas ’des agents ennemis’) à mesure qu’ils approchent des gens qui leur sont les plus proche.

Bien sûr, c’est le jeu naturel des parts de marché. Un vendeur de voiture saura mieux attaquer le segment de la voiture que celui du yaourt et encore mieux le segment de son collègue de bureau.

Vivement qu’émergent des penseurs trans-segments, des pondérateurs, de vrais humains quoi (et oui, cette dernière appréciation démontre avec quelle facilité on tombe dans le piège !) !