Il manque un aspect important de la chose :
Une bataille, ça se joue à rien, cela peut basculer sur un "coup de dé".
C’est la raison pour laquelle le chef de guerre doit avoir une bonne fortune, de la chance.
Pour cela, il essaye d’avoir Dieu de son côté.
L’empereur Constantin, se convertit au christianisme (Aryen) après une bataille gagnée.
Clovis, se convertit également au christianisme après une bataille emportée, ce fut la raison de son baptême, à l’origine de la France : Clovis, pour le nouveau testament, est le nouveau Roi David et la France est le nouvel Israël. Charlemagne, ensuite, prolongea dans la même lignée. C’est l’alliance du Sabre et du Goupillon, du Trône et de l’Autel.
Le rapport à la mort du chef de guerre, et la précarité de sa situation, le pousse à chercher l’appui d’une force invisible qui pourrait l’assister. Le chef de guerre est toujours en relation avec la providence divine.
Par exemple, depuis la seconde guerre mondiale, la tradition veut que les paras s’en remettent à Saint-Michel avant de sauter.
Le rapport à la mort rend mystique. Les Rois de France comptait sur Dieu.
Chirac était friand des voyants.
Mitterrand était amateur des doctrines ésotériques, du moins si l’on en juge ses grands travaux (Pyramide du Louvre, grande Arche de la défense). A mon avis Hollande est dans la continuité de Mitterrand, étant donné le nombre de Franc-maçon Haut-placés dans les ministères.