Qualifier l’Etat d’obèse est purement idéologique.
Il n’y a qu’à constater où est passé l’argent : chez les multinationales et les hyper-riches, via divers délits et à l’aide de leurs laquais que l’on s’échine à réélire dans les deux viviers putrides que sont les deux partis "majoritaires" français.
Nota : ils ne sont majoritaires que dans les médias qui — ce n’est pas un hasard — ont les mêmes patrons.
Donc, l’Etat est quasi-ruiné, et d’après les ultra-libéraux c’est de la faute des pauvres...

Ce déni de réalité leur permet de surfer idéologiquement sur cette falsification des faits.
Une preuve parmi d’autres, la dette française correspond grosso-modo à l’ensemble des intérêts payés depuis 73, année où des félons ont décidé de rémunérer les banques au lieu de laisser l’Etat créer lui-même l’argent, ce qui aurait présenté l’inconvénient de baisser la valeur des capitaux des hyper-riches.
Le chômage structurel n’est qu’une conséquence de cette félonie, par le fait qu’elle a permis de garder artificiellement forte (trop forte) notre monnaie.
Ce carcan mortifère a été confirmé dans les structures de l’UE, dont il faudra bien un jour se débarrasser, sans oublier de régler le problème de l’accumulation d’argent injustement gagné.