Olivier Delamarche atteint très vite ses limites, il ne faut pas non plus lui en demander trop. n’est qu’un gestionnaire qui pointe les défaillances d’une Finance mondialisée folle. Il est aussi plus spectaculaire et théâtrale dans ses interventions, ce qui lui donne un certain poids, mais ça s’arrête là.
Olivier Berruyer et Jacques Sapir dans leurs registres sont infiniment plus intéressants et pédagogiques.