Marcel a raison sur une chose : le peuple (les peuples) ne sont pas encore prêts à se révolter parce qu’ils ne comprennent pas bien ce qui se trame.
Les politiques, les bureaucrates, les financiers et les journalistes nous enfument sous des discours abscons. On n’y pige rien !
On se méfie de plus en plus, certes, on tend l’oreille mais tant qu’on ne comprendra pas comment Goldman Sachs et les autres sont en train de nous dépouiller, on ne bougera pas.
Au fond, les gens ont encore confiance en leurs dirigeants. Ils ne veulent pas croire que leurs dirigeants sont corrompus, qu’ils roulent pour Goldman Sachs, qu’ils les trahissent. C’est difficile d’ouvrir les yeux, de passer d’un monde à l’autre en un instant, d’un monde sécurisé à un monde de chaos. On ne veut pas y croire !