Pour investir en entreprise, il faut une vraie innovation, ce n’est pas l’argent qui manque mais l’innovation, je ne parle pas d’un réseau de commerciaux.
La science actuelle complexifie les projets qui valent de plus en plus cher alors, il faut plus d’argent, il faut ouvrir le QE, c’est logique mais tout cela n’apporte pas plus de richesses parce que c’est un faux chemin. ITER = 15 milliards va exploser et tout est comme ça dans l’innovation actuelle.
A masse monétaire fixe, si on ne fait pas de QE, il faut rogner ailleurs par exemple le coût du kg de boeuf. Le boeuf n’en ayant rien à fiche, on fait du QE. La science qui complique dévore les richesses.
Si je vous propose une énergie dont le coût décroit, il n’y plus besoin de QE, au contraire, il faut retirer de l’argent à cause des bulles et des effets pervers de la politique actuelle dans la logique actuelle.
A masse monétaire fixe, chaque année, la bonne science réduira les coûts et baissera les coûts de non qualité en étant de moins en moins compliqué comme lorsqu’on a abandonné les épicycles de Ptolémée (grâce à l’Islam).
C’est un problème d’autofinancement, ITER qui représente la logique de la recherche actuelle fout par terre toute l’économie alors on prend du vieux cheval roumain à la place de la délicieuse viande du boeuf Limousin ou autre. Qui préfère le haché du supermarché ? Personne, mais on n’a pas le choix, du moins pour la majorité. Il y a une limite alors on fait du QE.
Lorsqu’en 2012, j’ai écris à la Présidence entre les deux tours, à la maison blanche, à Merkel, à toutes les instances scientifiques Européenne, on m’a snobé. Le résultat est qu’en 2015, les socialistes n’auront jamais le gain de mes découvertes.
La leçon est la suivante, il faut savoir faire confiance au lieu de jouer au petit malin parce que moi, j’ai été transparent alors on ne peut rien me reprocher.
En 2012, je ne voyais pas toute la portée de ma
théorie de l’intrication mais j’ai développé l’aspect électromagnétique et j’ai pigé mais je n’ai pas rédigé car on m’a arnaqué : mon entreprise et Alstom, même s’il reste des zones d’ombre.
La solution est : plus de richesses et moins d’argent.
Si vous trouvez raisonnable de confier à un gamin comme
Jérôme Kerviel des leviers valant des centaines de milliards, il y a un problème !